Bougie Ambre brun – Je est un autre – Arthur Rimbaud


Fabriqué à Maussane-Les-Alpilles, Provence par l’Antidote. Fragrances réalisées à Grasse.

Composition des bougies L’antidote :

– 100% cire végétale, de tournesol et de soja européens (sans OGM ni pesticide)
– Parfums élaborés par une Maison de parfums à Grasse. Garantis sans phtalate ni CMR
– Mèches en coton non blanchi au chlore, non traitées, sans plomb
– Vegan, non testé sur les animaux
– 0% paraffine, pour une flamme propre sans suie toxique

Conseils d’utilisation :

– La 1ère fois que vous allumez votre bougie, nous vous conseillons de la laisser brûler pendant au moins 2 heures afin de permettre à la cire fondue d’atteindre les bords du contenant et afin d’éviter qu’elle ne se creuse par la suite
– Assurez-vous que la mèche ne dépasse jamais plus de 0.5 cm avant chaque utilisation. N’hésitez pas à la recouper à l’aide d’un coupe-mèche si nécessaire
– Ne laissez jamais une bougie allumée sans surveillance
– Assurez-vous que la surface sur laquelle est posée la bougie est stable et résistante à la chaleur
– Gardez les bougies allumées à l’écart des courants d’air et de tout objet inflammable
– Ne laissez pas une bougie allumée plus de 4 heures à la fois
– Pour plus de sécurité, arrêtez de bruler une bougie quand il reste moins d’un centimètre de cire dans le contenant

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UGS : 3760398620613 Catégories : , ,

LA DELICATESSE DE L’AMBRE DELICIEUSEMENT ENVELOPPANTE.

Bougie de 240g, verre dépoli noir mat.

Pyramide olfactive :

Notes de tête : lime douce, lavande
Note de cœur : jasmin des poètes
Notes de fond : crème de vanille, patchouli

Ce modèle présente une citation d’Arthur Rimbaud – Je est un autre.

« Je est un autre » Arthur Rimbaud

Qu’a voulu dire son auteur et pourquoi cela résonne à nos oreilles ?

Cette phrase bien connue de Rimbaud est extraite d’une lettre qu’il envoie encore jeune homme à son professeur. On est en 1871, et le poète s’interroge sur sa pensée : « c’est faux de dire « je pense » on devrait dire « on me pense » (…) je est un autre. »

Avec cette phrase devenue « culte » Rimbaud parle du dépassement de soi et du mystère de l’être.